Cela dépend du cas de départ. En général, un traitement dure entre 6 mois et 2 ans.
Oui, il faut les porter 22 heures par jour. Il est important de les retirer seulement pour manger ou se brosser les dents.
Non, mais une légère gêne peut survenir au début de chaque nouvelle gouttière. Elle disparaît rapidement.
Non. Il faut les retirer avant de manger pour éviter de les abîmer ou de les déformer.
Rince-les à l’eau tiède tous les jours. Tu peux utiliser une brosse douce et un savon neutre.
Oui, s’ils sont stabilisés par une contention. Le port d'une gouttière de nuit est souvent recommandé.
Oui, un suivi au cabinet reste nécessaire pour garantir la réussite du traitement. Cependant, grâce au monitoring à distance et à l’intelligence artificielle, les contrôles sont optimisés : les progrès sont suivis en temps réel, les soins peuvent être adaptés au bon moment et le nombre de visites est réduit. Résultat : plus de confort et de sérénité pour les patients et leurs familles.
Oui, la gouttière d’orthodontie est aujourd’hui une alternative moderne aux bagues métalliques. Discrète, amovible et confortable, elle permet de corriger efficacement l’alignement des dents tout en s’intégrant facilement dans la vie quotidienne.
L’orthodontie fonctionnelle est une approche qui vise à corriger les déséquilibres musculaires et les mauvaises fonctions orales (respiration, déglutition, mastication, posture de la langue…) qui sont souvent à l’origine des malpositions dentaires et des problèmes de développement des mâchoires. Contrairement à l’orthodontie classique qui agit principalement sur les dents, l’orthodontie fonctionnelle s’attaque à la cause des problèmes.
Les traitements fonctionnels peuvent débuter dès 3 à 4 ans, selon les cas. Plus l’intervention est précoce, plus les résultats sont naturels et stables, car elle accompagne la croissance de l’enfant.
Une langue mal positionnée ou une respiration buccale chronique peuvent entraîner un mauvais développement des mâchoires et une mauvaise posture. L’orthodontie fonctionnelle vise à corriger ces habitudes délétères pour des résultats durables.
Cela dépend de l’âge, de la coopération de l’enfant, et de la sévérité des troubles. En général, un traitement peut durer 6 à 24 mois, avec un suivi régulier.
Oui, c’est souvent le cas. L’orthodontie fonctionnelle peut préparer le terrain, puis une phase plus mécanique (aligneurs, bagues) peut être utilisée ensuite si nécessaire. C’est une approche complémentaire.
Pas du tout. L’orthodontie fonctionnelle intervient pendant la croissance, souvent avant l’éruption complète des dents définitives. Le but est d’accompagner le développement harmonieux des mâchoires et des fonctions orales pour éviter l’apparition de problèmes futurs.
Les tarifs varient selon le praticien, la durée du traitement et les appareils utilisés. Contrairement à l’orthodontie classique, les traitements précoces ne sont généralement pas pris en charge par la sécurité sociale, mais peuvent être partiellement remboursés par certaines mutuelles.
Voici quelques signes qui peuvent indiquer un besoin d’évaluation fonctionnelle :
- ronflement ou respiration buccale ;
- langue visible entre les dents ;
- troubles de l’élocution ;
- difficultés à mastiquer ou avaler ;
- position tête en avant, posture voûtée ;
- palais étroit, dents de lait tardives ou mal alignées.
Il est recommandé de faire une première consultation orthodontique vers l’âge de 6-7 ans, même si aucun problème évident n’est visible. Cela permet de détecter tôt certaines anomalies de croissance ou de position des dents.
Un traitement précoce dure en général 6 à 18 mois. Il peut être suivi d’une période de surveillance jusqu’à l’adolescence, puis d’un second traitement si nécessaire.
Certains comportements ou caractéristiques peuvent inciter à consulter : par exemple, un enfant qui respire principalement par la bouche, qui conserve une habitude de succion du pouce après l’âge de 4 ans, ou dont les dents semblent mal alignées. Des difficultés à mâcher, à prononcer certains mots ou un décalage visible entre les mâchoires peuvent également constituer des signaux d’alerte.
Les traitements précoces reposent sur des dispositifs spécifiques, souvent amovibles, qui visent à corriger la croissance osseuse ou à rééduquer certaines fonctions. Il peut s’agir d’appareils qui élargissent le palais, de dispositifs fonctionnels qui guident la croissance, ou dans certains cas de gouttières souples. À ce stade, l’usage des bagues est rare.
Pas du tout. C’est même le bon moment pour un premier contrôle. Même si toutes les dents de lait ne sont pas encore tombées, l’orthodontiste peut déjà repérer des décalages dans la croissance des mâchoires ou des habitudes qui risquent d’avoir un impact sur l’alignement futur des dents. Un simple examen permet souvent de rassurer les parents, ou au contraire de mettre en place des petites actions qui évitent des problèmes plus importants plus tard.
Pas toujours, mais il peut souvent réduire la durée ou la complexité du traitement à l’adolescence. Dans certains cas, un traitement précoce bien ciblé peut suffire. Dans d’autres, il prépare simplement un bon terrain pour un second traitement plus léger et plus rapide plus tard. Chaque situation est différente, c’est pourquoi un suivi est important même après la fin d’un premier traitement.
L’orthodontie chirurgicale, aussi appelée chirurgie orthognathique, est une combinaison d’un traitement orthodontique et d’une chirurgie des mâchoires. Elle est destinée aux patients dont les désalignements dento-squelettiques ne peuvent être corrigés uniquement par des appareils orthodontiques.
La chirurgie est pratiquée sous anesthésie générale. Après l’intervention, les douleurs sont généralement modérées et bien contrôlées par des antalgiques. Un œdème (gonflement) et des ecchymoses sont fréquents mais temporaires.
La convalescence initiale dure 2 à 4 semaines, mais la récupération complète (résorption de l’œdème, retour à une mastication normale, etc.) peut prendre plusieurs mois. Un arrêt de travail est souvent prescrit.
Généralement à partir de 18 ans, lorsque la croissance osseuse est terminée. Une évaluation peut être faite dès 16-17 ans pour planifier le traitement.
Oui, si le traitement est bien conduit et que le patient respecte les consignes post-opératoires et la phase de contention, les résultats sont très stables à long terme.
Oui, souvent de manière significative et positive. L’objectif est d’harmoniser les proportions du visage tout en corrigeant la fonction (mastication, parole, respiration).
C’est une phase qui suit le traitement orthodontique et qui sert à maintenir les dents en place pour éviter qu’elles ne bougent à nouveau.
Cela dépend du cas, mais souvent plusieurs années, parfois même à vie la nuit pour garantir une stabilité durable.
On utilise soit un fil collé derrière les dents, soit une gouttière transparente à porter la nuit.
Sans contention, les dents peuvent se déplacer progressivement, annulant les bénéfices du traitement. C’est pourquoi la phase de contention est essentielle à la réussite du traitement orthodontique.
Il faut contacter rapidement son orthodontiste. Un fil décollé ou une gouttière cassée peut compromettre la stabilité du traitement.
Oui. Après un traitement orthodontique chez les enfants ou adolescents, une contention est tout aussi importante que chez les adultes pour éviter les récidives de malposition.
La pédodontie, ou dentisterie pédiatrique, est une spécialité de la chirurgie dentaire dédiée à la prévention, au diagnostic et au traitement des pathologies bucco-dentaires chez les enfants, de la naissance à l’adolescence. Elle inclut également la gestion des enfants ayant des besoins spécifiques.
La première visite est recommandée autour de l’âge de 1 an ou dans les 6 mois suivant l’apparition de la première dent. C’est essentiel pour instaurer une relation de confiance et prévenir les caries précoces.
Un enfant peut commencer à se brosser les dents sous supervision dès 2 ans, mais il est recommandé qu’un adulte complète ou supervise le brossage jusqu’à 6-7 ans, quand la dextérité manuelle est suffisante.
La succion du pouce est normale chez les jeunes enfants. Toutefois, si elle persiste au-delà de 4 ans, cela peut entraîner des troubles de l’occlusion ou de la croissance des mâchoires. Un suivi préventif est conseillé.
Une visite de contrôle tous les 6 à 12 mois est généralement recommandée pour suivre l’évolution dentaire et prévenir les pathologies.
Oui, un suivi régulier chez le pédodontiste est complémentaire à celui de l’orthodontiste. Le pédodontiste s’assure de la bonne hygiène bucco-dentaire pendant le traitement orthodontique et peut intervenir en cas de caries, inflammations ou sensibilités.
C’est un acte préventif qui consiste à boucher les sillons profonds des molaires permanentes avec une résine fluide. Cela empêche les bactéries de s’y loger et de provoquer des caries. C’est rapide, indolore et très efficace.
Le fluor n’est pas dangereux s’il est utilisé correctement. Il joue un rôle essentiel dans la prévention des caries en renforçant l’émail dentaire. Les dentifrices pour enfants sont formulés avec des concentrations adaptées à leur âge. Jusqu’à trois ans, on recommande d’utiliser une quantité de dentifrice équivalente à un grain de riz, puis la taille d’un petit pois à partir de trois ans. Il est simplement important de surveiller que l’enfant ne l’avale pas.
En cas de chute ou de choc entraînant la fracture d’une dent, il est important de récupérer le fragment dentaire si possible et de le conserver dans un milieu humide, comme du lait ou de la salive. Il faut ensuite consulter rapidement un dentiste ou un pédodontiste. Si c’est une dent de lait, le praticien évaluera s’il est nécessaire de l’extraire ou non. Si la dent est définitive, une réparation, voire une réimplantation dans certains cas, peut être envisagée.
La mauvaise haleine chez l’enfant peut avoir plusieurs origines. Elle est parfois due à une hygiène bucco-dentaire insuffisante, mais elle peut aussi être le signe d’une carie, d’une inflammation, ou même de problèmes ORL comme des amygdales infectées. Dans tous les cas, il est recommandé de faire un bilan dentaire pour identifier la cause exacte et proposer une solution adaptée.